Méthodologie

Le classement des facultés réalisé avec le GRAS

Pour la réalisation de notre étude sur les facultés de médecine belges, nous avons bénéficié d’un solide précédent méthodologique. En effet, des études similaires ont été réalisées d’abord aux Etats-Unis[i] puis en Australie,[ii] au Canada,[iii] en France[iv] et enfin, en Allemagne.[v] Nous avons pu nous appuyer sur ces acquis afin de mener à bien notre projet. Le classement français, réalisé en 2016 par l’association Formindep,[vi] ayant précédé de peu le déclenchement de notre étude, nous nous sommes inspirés de leur méthodologie, elle-même basée sur les critères de l’AMSA et de l’étude canadienne réalisée par Shnier et al.[vii]

Les démarches que nous avons effectuées pour aboutir à notre classement des facultés de médecine belges sont donc très similaires à celles qui ont menées à la réalisation des classements français, canadiens et américains. Dans un premier temps, il s’est agi pour nous de répertorier les différentes universités belges proposant une formation dans le domaine de la médecine et disposant d’une faculté de médecine. Pour ce faire, nous avons consulté les différents sites internet des universités belges afin de savoir si celles-ci proposaient une formation médicale. Sur les onze universités belges, nous avons relevé dix facultés de médecine. Cinq facultés néerlandophones : l’Universiteit Antwerpen, l’UGent, l’UHasselt, la KU Leuven et la VUB ; ainsi que cinq facultés francophones : l’UCLouvain, l’ULB, l’ULiège, l’UMons et l’UNamur. Il y a une particularité pour les universités de Mons et de Namur : celles-ci ne proposent qu’une formation médicale de premier cycle. C’est-à-dire que les étudiants peuvent y effectuer leurs trois premières années de bachelier mais doivent ensuite s’orienter vers une autre université pour effectuer leur master et leur spécialisation. Malgré cette différence, nous avons tout de même décidé de les intégrer dans notre étude car elles contribuent elles-aussi, à leur niveau, à l’apprentissage de la médecine en Belgique.

1.   La recherche sur les sites internet

Dans un second temps, en décembre 2018, nous avons mené une recherche sur les sites internet de chacune des différentes facultés de médecine listées ci-dessus afin de trouver des informations ou des documents faisant état d’éventuelles politiques institutionnelles traitant, directement ou indirectement, des CI. Nous avons utilisé les mêmes mots clés pour notre recherche que ceux utilisés par le Formindep en France : « conflits d’intérêts », « liens d’intérêts », « industrie pharmaceutique », « laboratoire pharmaceutique », « charte » et « règlement intérieur ».[viii] En l’absence de résultats, nous avons décidé de réitérer une recherche identique en novembre 2019 en traduisant les mots clés en Anglais en plus du Néerlandais pour effectuer nos recherches sur les sites internet des facultés flamandes.

2.   Les contacts avec les Doyens

La troisième étape de notre démarche nous a conduit à envoyer, le 27 mai 2019, un courrier par voie de recommandé ainsi qu’un courriel adressés à chaque Doyen des différentes facultés de médecine afin de les informer du projet que nous réalisions et de l’objectif poursuivi. Dans ce courrier, nous rappelons l’importance de cette thématique au regard des expériences réalisées outre-Atlantique et en France. Ainsi que les résultats positifs qu’elles ont permis d’engendrer là où les facultés ont décidé de prendre des mesures pour limiter l’influence de l’industrie pharmaceutique envers leurs étudiants.[ix] Nous y expliquons que nos recherches sur les sites internet des différentes facultés n’ont permis de déceler aucune mention ou document faisant état d’une politique susceptible de nous intéresser. L’objectif premier de ce courrier est donc de demander s’il existe des politiques accessibles publiquement qui auraient échappé à notre vigilance et, le cas échéant, comment il serait possible d’en obtenir la consultation. Si de telles politiques étaient en cours d’élaboration, nous demandons également aux environs de quelle date celles-ci seraient finalisées. Cela permet aux Doyens et aux autorités facultaires de nous apporter des précisions, des indications et de nous envoyer toute information jugée pertinente pour l’élaboration d’un classement qui reflète, le plus fidèlement possible, la réalité du terrain. Nous exposons également aux Doyens les différents critères retenus afin de réaliser l’évaluation de leurs établissements. Ne nous intéressant qu’aux documents et politiques rendus publics par les facultés, nous informons les Doyens que les informations ne demeureront pas confidentielles et que les universités seront identifiées par leurs noms dans nos publications à ce sujet. Nous y signalons également aux Doyens qu’ils peuvent refuser de participer ou se retirer à tout moment du projet mais que toutes les politiques internes accessibles publiquement identifiées en la matière seront retenues, même en cas de retrait. L’absence de politique sera, le cas échéant, également notifiée en cas de retrait. Enfin, nous soulignons l’importance cruciale d’une collaboration active avec les Doyens afin d’obtenir des résultats reflétant le plus fidèlement possible l’état des lieux de l’indépendance de la formation médicale en Belgique.

Nous avons également mentionné la publication par les Conférences nationales des Doyens de facultés de médecine et des Doyens des facultés d’odontologie français d’une charte afin de prendre position en faveur d’une formation médicale plus indépendante.[x] Cette charte éthique, parue le 7 novembre 2017, fait suite à la publication du classement du Formindep publié en 2016. De plus, afin de renforcer la légitimité de notre initiative, nous avons joint à ce courrier une lettre de recommandation de Barbara Mintzes, co-auteure du classement des facultés de médecine canadiennes ainsi que du manuel de l’OMS et de la HAI sur « Comprendre la promotion pharmaceutique et y répondre »,[xi] qui marquait son soutien à notre projet.

A nos premiers courriers et courriels de mai 2019, nous n’avons pas obtenu de réponse de la part des bureaux des Doyens. Nous avons ensuite envoyé une série de rappels, par courriels, aux Doyens des facultés pour lesquelles nous n’avions pas reçu de réponse. Nous avons envoyé le premier rappel après la période des vacances d’été, le 31 août 2019. Nous avons envoyé un second rappel, le 30 septembre 2019. Enfin, nous avons envoyé un dernier rappel le 4 novembre 2019. Le 3 décembre 2019, nous avons à nouveau contacté les Doyens afin de leur faire parvenir nos résultats intermédiaires basés sur les informations que nous avions pu trouver. L’objectif était qu’ils puissent corriger ces résultats, les compléter et nous transmettre toute autre information que nous n’aurions pas pu trouver. Un ultime rappel leur a été envoyé à la date du 18 décembre 2019.

Cette étape est cruciale dans l’élaboration du projet car elle offre aux Doyens une possibilité de répondre et de participer à l’élaboration du classement. En effet, il est important de montrer aux autorités facultaires une réelle volonté de les impliquer dans l’étude afin d’éviter, dans le chef des facultés étudiées, une impression d’être mis au pied du mur. Il s’agit par-là d’affirmer la bienveillance qui motive notre démarche constructive en faveur d’une médecine davantage éthique.

Dans un premier temps, par souci de faisabilité, nous avons choisi, à l’instar du Formindep, de ne prendre en compte qu’un seul lieu de la formation médicale : les facultés de médecine dans leur ensemble. De ce fait, nous avons écarté les autres lieux de formation que sont les hôpitaux universitaires, lieux de stage des futurs étudiants ainsi que les autres endroits où se déroule la formation médicale continue (FMC). Il serait intéressant de poursuivre cette démarche en appliquant une méthodologie similaire aux autres endroits de la formation médicale comme l’ont fait, par la suite, les chercheurs français[xii] et américains[xiii] pour les Centres Hospitaliers Universitaires. Ceci permettrait de faire un état des lieux des politiques de lutte contre les CI tout au long du processus de formation des futurs médecins et d’émettre des recommandations globales afin de mener des politiques plus cohérentes en la matière.

3.   L’adaptation des critères

L’enjeu central de cette étude consistait en l’élaboration de critères pertinents sur base desquels évaluer les politiques mises en place, ou non, par les facultés de médecine. A l’instar des chercheurs français qui se sont inspirés des critères utilisés par Shnier et al. pour établir leur système de cotation,[xiv] nous nous sommes inspirés des critères de l’étude française et nous les avons adaptés au contexte propre à la Belgique. Sur la base de ces critères, nous avons établi un système de notation global afin de départager les facultés. Voici la liste des différents critères que nous avons retenus :

  1. Cadeaux et échantillons de médicaments.
  2. Repas.
  3. Relations de conseil et de consultance des médecins pour les firmes.
  4. Services de conférencier financés par l’industrie.
  5. Activités d’éducation à la faculté.
  6. Indemnisation pour les déplacements ou la participation aux conférences et réunions à l’extérieur de la faculté.
  7. Auteurs fantômes (ghostwriting).
  8. Représentants commerciaux de l’industrie.
  9. Politique de restriction de liens d’intérêts.
  10. Existence d’une formation adéquate sur les liens d’intérêts dans le curriculum des écoles de médecine.
  11. Financement de l’école de médecine par l’industrie pharmaceutique.
  12. Activités des facultés de médecine visant à promouvoir les critères belges pour un enseignement indépendant dans les hôpitaux d’enseignement affiliés.
  13. Utilisation de la Dénomination Commune Internationale (DCI).
  14. Critères de transparence des financements.
  15. Exécution et sanction.

Sur les 14 critères utilisés par Scheffer et al., nous en avons conservé 11 à l’identique, nous n’en avons pas retenu un et nous en avons ajouté trois. La législation française interdisant les échantillons de médicaments, l’équipe de Scheffer et al. avait exclu le critère numéro 11 de l’étude canadienne de Shnier et al. portant sur les échantillons gratuits. La législation belge autorisant les échantillons dans les conditions fixées par l’Arrêté royal du 11 janvier 1993[xv] ainsi que les primes et avantages de valeur négligeable (maximum 50 EUR par cadeau et maximum 125 EUR par année) qui ont un lien avec l’exercice de la profession,[xvi] nous avons choisi de réintégrer les échantillons au critère numéro 1.  Nos critères numéros 2 à 8 et numéros 10 à 12 sont directement repris de l’étude de Scheffer et al. Nous n’avons pas repris leur critère numéro 12, intitulé : « Soutien de l’industrie aux internes pour la publication d’articles scientifiques. » car nous avons souhaité, dans un premier temps, nous cantonner aux activités de formation des futurs médecins et pas à la recherche scientifique médicale. Les critères numéros 9, 13 et 14 de notre liste ont été rajoutés par rapport aux critères utilisés pour le classement de 2016 du Formindep. Le critère numéro 13 porte sur l’utilisation de la Dénomination Commune Internationale (DCI),[xvii] cette mesure a été intégrée aux critères de l’étude française pour l’édition 2018 de leur classement. Nous avons donc décidé de les intégrer également à nos critères car ils constituent une recommandation de l’OMS.[xviii] Il en va de même pour le critère numéro 14 de notre liste, sur la transparence des financements au sein des facultés, qui correspond au critère 15 du millésime 2018 du classement du Formindep et qu’il nous a semblé pertinent d’intégrer également.[xix]

Pour certains critères, nous avons apporté des précisions relatives aux dispositions prévues dans la législation belge. C’est le cas pour les critères numéros 1 (voir supra.), 2, 5 et 6. Pour le critère numéro 2 concernant les repas, nous avons précisé ce qui est stipulé dans le Code de Déontologie de Mdéon. Il y est indiqué que les repas pris en charge par les entreprises dans le cadre de la participation à une manifestation scientifique ne peuvent excéder 40 EUR pour un lunch (boissons comprises) et 80 EUR pour un dîner (boissons comprises).[xx] Pour le critère numéro 5, concernant les activités d’éducation à la faculté et notamment la formation médicale continue, le Code de Déontologie de Mdéon indique que le financement d’une activité éducative nécessite une demande de visa Mdéon (voir supra.). Celui-ci vérifie le respect du Code de Déontologie, dont principalement les deux points suivants : 1) Le programme scientifique constitue l’essentiel de l’évènement ; 2) Les orateurs, au vu de leur fonction, sont supposés être objectifs et scientifiques.[xxi] Enfin, pour le critère numéro 6 concernant l’« Indemnisation pour les déplacements ou la participation aux conférences et réunions à l’extérieur de la faculté », des précisions sont également données dans le Code de Déontologie Mdéon. Dans ce cas, l’indemnisation par une entreprise, soit du déplacement, soit de la participation, est conditionnée. Le lieu et les déplacements doivent être justifiés ; il doit y avoir une cohérence entre l’origine des participants et le lieu choisi ; le lieu choisi doit présenter un avantage en termes de compétences ou d’infrastructures et ne peut comporter d’activité sportive ou de loisirs ; enfin, le séjour ne peut se prolonger à des fins privées (sauf sous certaines conditions) et l’intervention dans les frais de déplacement doit être limitée à la durée officielle de l’évènement scientifique.[xxii]

Comme l’ont fait les études américaine, canadienne et française, nous avons choisi d’intégrer un dernier critère « d’Exécution et sanction » afin de prendre en compte l’existence d’une instance responsable de surveiller les règles et les politiques énoncées pour chacun des différents critères ; et l’existence éventuelle de sanction en cas de non-respect de ces dernières. Dans l’échelle de cotation de ce critère, nous avons instauré une gradation : la cotation la plus haute traduit l’existence « d’un comité responsable de la surveillance générale des règles énoncées » et de « sanctions […] définies en cas de non compliance » ; la cotation intermédiaire traduit l’existence « soit [d’]un comité responsable de la surveillance des critères, soit des sanctions en cas de non-respect » et, enfin, la cotation la plus faible dénote l’absence « de politique de surveillance et de sanction ».  A l’instar de l’étude française, nous n’avons pas été plus loin en vérifiant si les mesures avaient effectivement été violées ni la sévérité des sanctions. En effet, cela demande un suivi de terrain et une méthodologie contextuelle coûteuse en temps et en ressources.

4.   Le système de notation

Chaque critère est doté d’une échelle de cotation standardisée graduée de 0 à 2. La note de 0 correspond à l’absence de politique ou à une politique permissive ; la note de 1 correspond à une politique en la matière limitée et la note de 2 correspond à une politique exemplaire. A l’instar des chercheurs français et canadiens,[xxiii] nous avons additionné les notes individuelles obtenues par chaque université sur les 15 critères de notre étude, pour une note maximale de 30 chaque critère ayant le même poids.

Nous avons l’opportunité, via le GRAS, d’obtenir un budget afin de financer la réalisation d’un site internet sur lequel nous publierons nos résultats sous la forme d’un tableau. Afin de rendre ce tableau plus lisible et ergonomique, nous avons opté, à l’instar de l’AMSA et du Formindep,[xxiv] pour un système de graduation de type « A,B,C,D » :

  • A : Un A est attribué aux facultés mettant en place des politiques estimées excellentes en matière d’encadrement des CI. Ce grade correspond à un score égal ou supérieur à 26 points selon nos critères, soit un résultat égal ou supérieur à 85% du score maximum.
  • B : Un B est octroyé à des facultés disposant de politiques modérées de gestion des CI. Ce grade correspond à un score situé entre 22 et 26 points et entre 72% et 85% du score maximal.
  • C : Un C correspond à des politiques faibles et peu efficaces. Les facultés se voyant octroyer ce grade ont obtenu un score situé entre 17 et 22 points, soit entre 56% et 72% du score maximum.
  • D : Ce grade est attribué aux facultés réalisant un score inférieur à 17 points. Il correspond à des politiques insuffisantes en matière de gestion des CI.
  • I : Les facultés pour lesquelles nous n’avons trouvé aucun résultat et pour lesquelles nous n’avons pas reçu de réponse se sont vues attribuer une note I pour « Insuffisant ». Celles-ci seront invitées à nous communiquer leurs éventuelles rectifications et politiques afin que nous puissions ajuster nos résultats dans le cadre d’un futur classement.

Veuillez trouver la liste complète avec nos différents critères et leur système de notation graduel à l’annexe numéro 3.

Une fois que nous avons rassemblé toutes les informations et les données que nous avions pu obtenir – via les deux recherches sur les sites internet des facultés, via les contacts avec les Doyens et par le biais des contacts personnels avec les étudiants et les enseignants dans le cadre de nos entretiens semis-directifs – nous nous sommes réunis le 16 novembre 2019. Deux personnes ont attribué, de manière non concertée, des scores aux facultés pour chacun de nos critères. Bien que ceux-ci soient objectifs, cette méthode d’attribution des points a été choisie afin d’écarter d’éventuels biais d’interprétation qui auraient pu subsister. Les membres du GRAS travaillant sur ce projet et nous-même avons, ensuite, validé les résultats obtenus et les désaccords ont été résolus par le biais de discussions. Cette pratique fait, elle-aussi, écho à la méthodologie utilisée par Scheffer et al.[xxv] Enfin, nous avons additionné les scores obtenu à chacun des critères pour chacune des facultés et nous sommes arrivés à un score final compris entre 0 et 30 points.


[i] La Revue Prescrire, « Etats-Unis : moins de firmes dans les facultés de médecine grâce aux étudiants », 2016

[ii] Mason, P., Tattersall, M.H.N., « Conflicts of interest: a review of institutional policy in Australian medical schools », 2011

[iii] Shnier, A., Lexchin, J., Mintzes, B., Jutel, A., Holloway, K., « Too Few, Too Weak: Conflict of Interest Policies at Canadian Medical Schools », 2013

[iv] Scheffer, P., Guy-Coichard, C., Outh-Gauer, D., Calet-Froissart, Z., Boursier, M., Mintzes, B. et al., « Conflict of Interest Policies at French Medical Schools: Starting from the Bottom », 2017

[v] Grabitz, P., Friedmann, Z., Gepp, S., Hess, L.U., Specht, L. et al., « Conflict of Interest Policies at German medical schools – A long way to go », 2019

[vi] Formindep, « Méthodologie » https://facs2016.formindep.fr/metho.html

[vii] Shnier, A., Lexchin, J., Mintzes, B., Jutel, A., Holloway, K., op. cit., 2013

[viii] Formindep, « Méthodologie » https://facs2016.formindep.fr/metho.html

[ix] Kesselheim A.S., « Drug company gifts to medical students: the hidden curriculum », 2013

[x] Dubois Randé, J.-L., Taddei-Gross, C., « Charte éthique et déontologique des Facultés de médecine et d’odontologie », 2017

[xi] Mintzes, B., Laing, R., Reed, T., Ewen, M., Hayes, L., & Piriou, C., op. cit., 2013

[xii] Guy-Coichard, C., Perraud, G., Chailleu, A., Gaillac, V., Scheffer, P., Mintzes, B., « Inadequate conflict of interest policies at most French teaching hospitals: A survey and website analysis », 2019

[xiii] La Revue Prescrire, « Etats-Unis : moins de firmes dans les facultés de médecine grâce aux étudiants », 2016, p. 60

[xiv] Scheffer, P., Guy-Coichard, C., Outh-Gauer, D., Calet-Froissart, Z., Boursier, M., Mintzes, B. et al., op. cit., 2017, p. 4

[xv] Arrêté royal du 11 janvier 1993 fixant les conditions dans lesquelles la remise de médicaments à usage humain sous forme d’échantillons peut être effectuée 

[xvi] Mdéon, op.cit., 2018, p. 7

[xvii] « Les dénominations communes internationales (DCI) identifient les substances pharmaceutiques ou les principes actifs pharmaceutiques. Chaque DCI est une appellation unique reconnue au niveau mondial et qui relève du domaine public. On parle aussi de nom générique. » (OMS)

[xviii] OMS, « Les dénominations communes internationales (DCI) »

[xix] Formindep, « Classement des facultés françaises en matière d’indépendance »

[xx] Mdéon, « Frequently Asked Questions »,

[xxi] Mdéon, op.cit., 2018, p. 10

[xxii] Mdéon, op.cit., 2018, p. 15-17

[xxiii] Scheffer, P., Guy-Coichard, C., Outh-Gauer, D., Calet-Froissart, Z., Boursier, M., Mintzes, B. et al., op. cit., 2017, p. 5

[xxiv] Formindep, « Méthodologie »

[xxv] Ibid.