Quand un bébé régurgite: conseils d’allaitement ou Gaviscon puis IPP ?
La plupart des petits patients allaités mis sous IPP (Inhibiteurs de la Pompe à proton) sont confrontés en fait au trop de lait de leur mère.
Voir le lien suivant, vulgarisation bien faite de l’hyperlactation avec réflexe d’éjection fort.
On a la même chose avec les bébés nourris par des trop grandes quantités de PPN (préparation pour nourrisson) rapidement bues au biberon.
L’utilisation des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) est en augmentation dans de nombreux pays à revenu élevé. En 2019, plus de 6 % des enfants français de moins de 2 ans se sont vus prescrire des IPP. Une étude basée sur des registres et utilisant des données sur plus d’un million d’enfants révèle que cela n’est pas sans risque. Les enfants à qui l’on a prescrit des IPP étaient environ 30 % plus susceptibles de souffrir d’une infection grave, en particulier d’une infection bactérienne du tube digestif et de l’oreille, du nez et de la gorge.(JAMA Pediatr doi:10.1001/jamapediatrics.2023.2900).